Articles

Après la religion et la guerre, thèmes abordés dans ses précédents spectacles, Jérémy Ferrari s’attaque cette fois à la santé. Une foule de personnalités y passent : Jacques Servier, Olivier Véran, le groupe Boiron et l’homéopathie, le personnel soignant et les CHU. Rencontre avec un humoriste qui adore casser les codes.

«J’avais envie de faire rire ma mère et d’avoir la fierté de mon père»

Article écrit par Nicolas Crousse, journaliste au service Culture du journal Belge Le Soir

Dans son spectacle intitulé Anesthésie générale, Jérémy Ferrari évoque ses addictions, ses troubles obsessionnels compulsifs, étrille les défaillances de notre système de santé et n’épargne personne. Trois heures d’électrochoc à voir d’urgence.

Jérémy Ferrari, actuellement à l’affiche de son spectacle "Anesthésie générale", prend place dans le fauteuil noir du psychanalyste Gérard Miller ce mardi 27 décembre à 18h40 sur France 3 Paris Île-de-France.

Après les religions et la guerre, Jérémy Ferrari s’attaque à notre système de santé dans un nouveau spectacle engagé et recherché, qui va bien au-delà de nos attentes.

Quand Jérémy Ferrari aborde un spectacle, il ne le fait pas qu’à moitié. La préparation de sa thématique est scrupuleuse, celle de sa forme physique pour faire trois heures de show sur scène l’est tout autant.

L’humoriste cartonne avec son seul en scène Anesthésie générale. Il sera à Nice ce jeudi 10 novembre, le lendemain à Aix-en-Provence, puis en mars à Monaco.

Par Sébastien Ministru, pour Moustique.be